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Au lieu d’avoir un véritable cheval (car admittons qu’il en faut du temps pour son entretien et il laisse des marques...), Le Corleo fonctionne à base d'hydrogène. Propulsé par un moteur de 150 cm³ offrant une combustion efficace, il ne laisse comme seule "déjection" qu'une eau limpide et peut-être même rafraîchissante via un système de distribution incorporé. Parfait pour se restaurer lors d'un pique-nique en hauteur.

Et Le Corleo est tout autant discret que distingué. , sans le son inattendu d'un cheval.

Pour ce qui est de la conduite, adieu le guidon traditionnel. Ici, tu maîtrises la créature grâce à ton corps , semblable à un cavalier monté sur sa monture. Le siège "flottant" se adapte en fonction de la morphologie du conducteur et pourrait également recevoir un passager. Des pieds-de-biche ajustables, un petit tableau de bord coloré et un pare-brise aerodynamique finalisent l'ensemble.

Oui, et qu'en est-il de ses sabots ? Ce sont des patins caoutchoutés divisés , afin d'assurer un maintien optimal. Un toucher inspiré par les méchas japonais, doté de jambes arrière articulées pour absorber les impacts... ou peut-être pour te destabiliser pendant un bond manqué ?

Un projet pour 2050... ou une utopie d'ingénieur ?

Il n'y a pas de raison de nous mentir : Le Corleo, pour le moment, n'est qu'un prototype qui arrive à peine à se mettre debout. Kawasaki dévoile une vision de la mobilité individuelle pour 2050, soit bien loin dans le futur. Cependant, l'objectif est clair : développer un robot à quatre pattes destiné à cela. sauter, grimper, trotter , grâce à une intelligence artificielle qui prédit les obstacles, illumine le chemin nocturne avec des feux de position, et s'ajuste aux mouvements du cavalier.

Science-fiction ? Possible. Cependant, au moment où certaines marques se mettent à produire des robots-licornes destinés aux plus jeunes, le cheval-robot de Kawasaki a au moins le mérite de prendre des risques.

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