Faites-vous partie des conducteurs touchés par les Zones à Faibles Émissions (ZFE) ? La nouvelle de leur suppression pourrait donc vraiment vous concerner !
Faites-vous partie des conducteurs touchés par les Zones à Faibles Émissions (ZFE) ? La nouvelle de leur abolition pourrait donc vraiment vous concerner !
Elles ont fait l'objet de nombreuses discussions, souvent critiquées, et pourraient prochainement être abolies, d'après ce qui se dit. magazine Auto-Moto Les zones à basses émissions (ZBE) sont présentement au centre d'une controverse législatif majeur en France.
Effectivement, une loi susceptible d'y résoudre ce problème a été adoptée par la commission. Toutefois, elle doit encore obtenir l'approbation de l'Assemblée nationale. Dans l'intervalle, Les données relatives au nombre de personnes touchées par cet effet en France Malgré ces limitations, la circulation se poursuit.Entre surestimation et approximation : que se passe-t-il réellement ?
Des millions d'individus touchés par les Zones à Faibles Émissions... du moins en théorie
Dès leur lancement, les Zones à Faibles Émissions ont constamment été entourées de controverses numériques. Les organisations, les syndicats et les dirigeants politiques citent fréquemment des chiffres contradictoires concernant les ZFE. des centaines de milliers de Français touchés Certains évoquent la présence de 20 millions de citoyens « impliqués de manière directe ou indirecte » Ce nombre englobe toutes Ceux qui résident à l'intérieur ou aux alentours d'une Zone à Faible Émission (ZFE). D'autres organisations, telles que l'association 40 Millions d'automobilistes, estiment quant à elles qu'environ 10 millions de conducteurs sont directement affectés par ces restrictions de circulation.
Et ces données n'ont pas manqué d'ébranler même les plus hautes instances de l'État. Apparue sur Franceinfo, la Ministre de la Transition Écologique, Agnès Pannier-Runacher, a souhaité clarifier quelques déclarations : « Il a été affirmé que 13 millions de véhicules ne pourraient plus circuler. Ce point est totalement incorrect. » Une réminiscence fort utile, tant que cela les confusions sont nombreuses depuis qu'elles ont été mises en œuvre.
Ce qu'il faut savoir sur les Zones à Faibles Émissions
Instaurées en 2019, les zones à faibles émissions ont pour but de limiter la pollution atmosphérique en excluant progressivement les véhicules les plus polluants. Leur expansion s’est accélérée à partir de 2021. Avant une responsabilité juridique instaurée à partir de janvier 2025 Pour l'ensemble des zones urbaines comptant plus de 150 000 résidents. Dans ce cadre, il est prévu que 43 grandes villes soient concernées. Cependant, dans la réalité, seulement environ trois douzinas d’entre elles ont effectivement mis en place une Zone à Faibles Émissions (ZFE), chacune ayant défini ses propres critères de limitation. Ces régulations s'appuient principalement sur le système Crit’Air . Il s’agit d’une classification des véhicules selon leur niveau de pollution, allant de 0 (véhicules électriques) à 5 (les plus anciens diesels). Certains territoires se montrent stricts sur le sujet. Mais, d’autres n’excluent que les véhicules non classés, c’est-à-dire extrêmement anciens.
Le magazine Auto-Moto Il s'est concentré sur les données précises et a essayé de mesurer combien d'automobilistes sont effectivement impactés par les Zones à Faibles Émissions (ZFE). Le constat indique que, dans la pire des hypothèses, jusqu'à approximativement 1 422 000 conducteurs pourraient être quotidiennement affectés par ces restrictions. limitations de circulation dans leur agglomération . Dans le détail, Les quatre régions les plus rigoureuses - Paris, Lyon, Grenoble et Montpellier autorisent uniquement les véhicules avec un certificat Crit'Air de niveau 1 et 2. D'après les informations du gouvernement, cela concerne approximativement 977 000 voitures ayant obtenu une évaluation de niveau 3 ou supérieur via le système Crit'Air. De plus, environ 337 000 véhicules ne respectant pas ces critères sont également présents à Marseille, Nice, Reims, Rouen, Strasbourg et Toulouse, où seul l'accès des véhicules sans classement critique est restreint aux niveaux 4, 5 ainsi qu'à ceux non notés. Finalement, au sein des vingt autres zones à faibles émissions (ZFE), la restriction porte sur les véhicules dépourvus d'un tel label, soit environ 108 000 automobiles en tout.
Ce qui pourrait évoluer d'ici 2026 dans le cadre des Zones à Faibles Émissions (ZFE).
Ces informations servent à nuancer les statistiques présentées par divers groupes. De fait, bien que nous dénombrions au-delà de 11 millions de voitures categorisées Crit'Air 3 Ou plutôt au niveau national, très peu de régions ont jusqu'à présent choisi d'interdire ce type de véhicule. En autres termes, les limitations concernent actuellement seulement une petite partie du parc automobile français.
La discussion n'est pas close pour autant. En cas de vote suspendant les Zones à Faibles Émissions (ZFE), cela pourrait entraver leur expansion. Néanmoins, dans le cadre présent, diverses agglomérations prévoient déjà d'intensifier leurs limitations d'ici 2026. Cela dit, l'exemple de Montpellier indique qu'une interdiction ne garantit pas nécessairement une diminution effective des émissions. La punition n'est pas automatique. Dans ce secteur urbain, les véhicules avec la vignette Crit'Air 3 sont officiellement interdits, cependant, à ce jour, aucun amendement n'a été émis concernant leur présence.