En Chine, il est maintenant envisageable de s'élever dans les cieux pour se déplacer. Des taxis volants sont opérationnels au-dessus des deux cités du pays. À l'intérieur, le pilote agit en solo, sans sécurité supplémentaire.
La réponse à la congestion routière pourrait ne pas passer obligatoirement par des solutions soutERRaines ou des transports en communs traditionnels. En Chine, il est temps de s'élever vers les cieux! Le pays introduit ses tout premiers taxis volants.
L’entreprise EHang a obtenu des brevets pour ses tout premiers véhicules aériens autonomes. Ces appareils sont conçus pour s’élever jusqu’à 40 mètres d’altitude et peuvent atteindre une vitesse maximale de 130 km/h. Selon France Télévisions , le vol ne doit pas dépasser les 25 minutes !
Les taxis volants et autonomes font leur entrée en Chine.
À bord de ce véhicule qui se rapproche plus d'un hélicoptère monoculaire, le pilote agit en solo et n'a pas de filet de sécurité. Pas même de parachute. Cependant, si des difficultés surviennent, les techniciens sur terre peuvent prendre le relai pour contrôler l'appareil. Dans tous les autres cas, il est guidé de façon automatisée.
Actuellement, ces véhicules ne sont accessibles qu'à des voyages commerciaux et se limitent à deux villes chinoises : Guangzhou et Hefei, qui comptent parmi les principaux centres d'affaires de l'entreprise. EHang, à l'origine du projet.
Un concept similaire élaboré en France
Un projet analogue était envisagé dans la région Île-de-France pour accompagner les Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024. Ce plan n’a pas abouti au final. Les obstacles bureaucratiques sont pointés du doigt selon nos collègues journalistes.
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