Appeler en conduisant avec un casque, excès de vitesse, les comportements négligents des motards et des scooteristes font l'objet d'une critique dans une recherche. Malgré cela, ces mêmes utilisateurs reconnaissent également ressentir et comprendre leur propre fragilité sur la route.
Les motards sont-ils des conducteurs médiocres ? Il est probable que certains ne tergiverseront pas pour répondre affirmativement. Cependant, une recherche fournit un éclairage plus détaillé et limpide là-dessus. Ce qui constituerait les mauvaises conduites des motards et scooteristes lorsqu'ils sont au guidon. .
Ainsi, Deux conducteurs sur quatre admettent utiliser occasionnellement leur téléphone en conduisant. Selon le baromètre BPCE (observatoire dédié aux deux-roues motorisés), cette tendance est en augmentation de six points comparée à l'année 2024.
Les chercheurs de l'étude poursuivent en soutenant que Que un tiers des conducteurs avouent cette fois dépasser parfois les limites de vitesseoccasionnellement. (43% chez les 18-24 ans). De plus, 82% des utilisateurs recourent à l'inter-file. Cette pratique est légalement autorisée, bien que cela soit appréciation du niveau de risque associé à celle-ci Cela est malgré le fait que 73% des personnes interrogées (+8 points comparé à l'année dernière) affirment avoir déjà été victimes de cela. témoins ou victimes d'un incident routier .
Les motards pourtant vulnérables
Des informations fascinantes, surtout si l'on considère que les utilisateurs de véhicules à deux roues sont concernés par ces statistiques. éprouvent une grande sensation d'instabilité Poursuivant l'analyse, ils sont 73 % à se sentir fréquemment menacés par les conducteurs automobiles. De plus, 77 % estiment que la hausse du nombre d'utilisateurs de vélos et de trottinettes complexifie également leurs déplacements.
72% des personnes interrogées pensent qu'elles sont pas assez protégés grâce à la conception des chaussées Il est important de souligner cependant que les motocyclistes ne sont pas ceux qui encourent le plus grand risque. En effet, l'exposition aux périls diffère notablement en fonction du type de véhicule : 63 % des conducteurs de scooters déclarent avoir déjà été impliqués dans un accident. contre 38% des pilotes de moto ."
"D'autre part, les pilotes de véhicules à deux roues reconnaissent généralement les dangers potentielles," affirme toujours BPCE dans son analyse. "Une large partie des participants ont indiqué qu'ils se rendent compte que s'informer fréquemment sur les nouvelles tendances dans le secteur des véhicules à deux roues motorisés , qu'il s'agisse de nouvelles régulations (86%) ou de nouveaux équipements de sécurité (85%). De plus, 75% estiment être bien renseignés concernant les procédures à suivre en cas d'accident." C'est un aspect positif, étant donné le taux d'accidents impliquant les véhicules à deux roues.
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