Dernièrement, dimanche proche de Thouar, les gendarmes ont pris la mesure d'une automobiliste roulant bien au-dessus des limites de vitesse, atteignant ainsi plus de 140 km/h sur un chemin secondaire. Bien qu'elle ressentît fortement le besoin d'uriner, ils l'on contraint à patienter en suspendant sa licence de conduire.
Elle avait hâte en raison de l'urgence, dorénavant elle disposera de tout le temps nécessaire pour y parvenir, ainsi que pour méditer sur ses actions.
Un prétexte qui ne se soutient pas
Dans le département des Deux-Sèvres, les gendarmes ont été déployés pendant toute la journée de dimanche afin d'effectuer un contrôle routier sur une voie départementale. Vers 18 heures, ce fut une automobiliste particulièrement pressée qui capta leur attention. Elle avait été flashée roulant à 140 km/h alors que la limite était fixée à 90 km/h. Les agents chargés du maintien de l'ordre décidèrent donc de procéder à son arrestation. Lorsqu'on lui demanda raison de sa conduite excessive, elle expliqua qu'elle devait absolument se rendre aux toilettes. Cependant, cette justification ne convainquit guère les représentants de l'autorité et ils émirent contre elle certaines pénalités.
Une calamité gérée par la gendarmerie
Son permis de conduite fut révoqué sur-le-champ, mais heureusement pour elle, elle put regagner son domicile au volant de sa propre voiture car sa compagne avait repris le contrôle du véhicule après une escale obligatoire à la brigade de gendarmerie qui disposait des installations sanitaires nécessaires. La présence des gendarmes s'est intensifiée dans ce district avec un accent particulier mis sur les infractions liées aux vitesses excessives. Plus tôt durant cette même journée, un autre véhicule avait été intercepté roulant à 133 km/h vers le Maine-et-Loire.